La facturation électronique arrive au Luxembourg

1. Acteurs concernés

La loi du 13 décembre 2021 modifiant la loi du 16 mai 2019 prévoit l’obligation de e-facturation dans le cadre des marchés publics. L’obligation ne concerne pas actuellement les relations des opérateurs économiques privées entre eux.

2. Mise en place échelonnée dans le temps

3. Définition de la e-facturation

Le document émis, transmis et reçu sous un format électronique structuré doit pouvoir être traité électroniquement de façon automatisée sans intervention manuelle.

4. Solutions techniques

La facture sous format XML doit être conforme à la norme européenne EN 16931-1 :2017 et à une des deux syntaxes :

  • XML UBL(Universal Business Language: langage d’affaire universel) défini dans la norme ISO/IEC 19845:2015 et maintenu par l’organisme sans but lucratif OASIS Open;
  • XML UN/CEFACT CII (Cross Industry Invoice) élaboré par le CEFACT-ONU, tel que spécifié dans les schémas XML 16B (SCRDM — CII).

Les solutions pour générer des documents conformes:

  • Utilisation de logiciels de facturation ou de comptabilité permettant par défaut l’envoi de factures conformes. 
  • Le logiciel comptable ExactOnline proposé par Cabexco, vous offre une solution conforme et intégrée en terme de facturation et de suivi de la comptabilité.
  • Utilisation d’un formulaire mis à disposition en ligne permettant de saisir manuellement les informations de facturation ou par téléchargement d’un formulaire pré-complété.

5. Plus d'informations

Nous restons à votre disposition pour toutes informations.

L’équipe Cabexco 

Les administrations luxembourgeoises accélèrent leur digitalisation. Nous sommes tous concernés. Voyez plutôt ici !

1. Fiches d'impôts électroniques

A partir du 1er mai 2021, l’Administration des contributions directes (ACD) mettra en place des fiches pluriannuelles électroniques.


Dès lors, les employeurs auront la possibilité de consulter et télécharger les fiches de retenue d’impôts de leurs salariés et/ou pensionnés et ce, depuis leur espace professionnel sur MyGuichet.lu.


La date clé du 1er mai 2021 est une date de phase test qui s’étendra jusqu’au 31 décembre 2021.


A partir du 1er janvier 2022, les employeurs auront l’obligation d’accéder au moins une fois par mois au nouveau système électronique, ceci sous peine d’astreinte. Par conséquence, les salariés n’auront plus l’obligation de remettre leur fiche à l’employeur.


Plus de détails ici…

2. Facturation électronique

Le projet de loi 7750 modifiant la loi du 16 mai 2019 relative à la facturation électronique a été proposé.

 

Ce projet de loi a pour objectif la mise en place d’une infrastructure unique et sécurisée pour favoriser les échanges d’affaires et l’harmonisation des solutions de facturations électroniques via un standard commun.

 

En effet, à compter du 1er septembre 2021, toute entreprise qui souhaitera répondre à un appel d’offre luxembourgeois se verra dans l’obligation d’utiliser une solution de facturation électronique compatible avec les standards fixés par le gouvernement.

 

Cette obligation se ferait en trois phases :

  • 1er septembre 2021 : opérateurs économiques de grande taille ;
  • 1er février 2022 : opérateurs économiques de taille moyenne ;
  • 1er juillet 2022 : opérateurs économiques de petite taille.

Comment faire ?

 

Le réseau de livraison commun utilisé pour la réception des factures électroniques sera normalement PEPPOL et ce, via :

 

  • soit la location d’un point d’accès PEPPOL auprès d’un prestataire spécialisé ;
  • soit la mise en place d’un propre point d’accès PEPPOL ;
  • soit l’utilisation de logiciels de facturation ou de comptabilité qui permettent l’envoi de factures conformes via PEPPOL ;
  • ou soit l’utilisation de formulaires web sur MyGuichet.lu qui permettront de créer ou de télécharger manuellement des factures électroniques conformes.

 

Afin de pouvoir émettre une facture électronique, l’entreprise doit pouvoir se retrouver parmi tous les appels d’offres existants.

 

De plus, chaque entreprise a la possibilité de s’appuyer sur le service de veille sur les marchés publics de l’Enterprise Europe Network de la Chambre de Commerce.

 

Depuis le début de la crise sanitaire liée au coronavirus, ce service digital est gratuit pour les entreprises luxembourgeoises, et ce jusqu’au 31 décembre 2021.

 

Source : https://www.cc.lu/actualites/detail/la-facturation-electronique-dans-les-marches-publics-opportunites-et-defis-pour-les-pme-luxembourg/

 

 

3. JobBoard : à la recherche d'un emploi

Au niveau du demandeur d’emploi

 

Depuis le 28 avril 2021, le JobBoard l’ADEM initialement réservé uniquement aux demandeurs d’emploi inscrits à l’ADEM, est accessible pour toute personne à la recherche d’un emploi et ce, sans aucune formalité préalable. 

 

Ce changement implique que les personnes non-inscrites à l’ADEM peuvent consulter les offres d’emploi que les entreprises ont décidé de rendre publiques. 

Il est à noter que les personnes inscrites à l’ADEM, quant-à-elles, ont un accès exclusif aux offres pendant les 7 premiers jours de leur publication et sont aussi les seuls à disposer d’un profil sur le JobBoard, consultable par les employeurs. 

 

Au niveau de l’employeur 

 

Depuis le 28 avril 2021, l’entreprise a le choix entre une diffusion d’offres restreinte ou une diffusion d’offres publique

 

S’ils choisissent l’option publique, les coordonnées de l’employeur sont visibles par tous les candidats (inscrits ou non-inscrits). 

Aide pour le commerce de détail en magasin

Il s’agit d’une aide mensuelle non remboursable et exempte d’impôts.

 

Source : http://www.legilux.public.lu/eli/etat/leg/loi/2020/07/24/a642/jo

 

Secteurs concernés

 

L’aide s’adresse aux seules entreprises du commerce de détail en magasin. Par « commerce de détail », on entend les activités consistant en l’achat de marchandises pour les revendre directement au consommateur final.

 

Liste des entreprises assimilées au commerce de détail (sous réserve de disposer d’une surface commerciale de type « commerce de détail ») :

  • boulanger-pâtissier ;
  • boucher ;
  • traiteur ;
  • fleuriste ;
  • horloger ;
  • bijoutier-orfèvre ;
  • opticien ;
  • styliste ;
  • retouche de vêtements ;
  • nettoyage à sec- blanchisserie ;
  • cordonnier et cordonnier-réparateur ;
  • orthopédiste et bandagiste ;
  • coiffeur ;
  • esthéticien ;
  • pédicure ;
  • manucure-maquilleur ;
  • décorateur d’intérieur ;
  • électricien ;
  • salon de toilettage pour chiens et chats.

 

Conditions d’obtention

 

L’entreprise de commerce de détail en magasin doit :

  • être une microentreprise, une petite entreprise ou une moyenne entreprise ;
  • avoir exercé l’activité avant le 15 mars 2020 ;
  • disposer d’une autorisation d’établissement valable (délivrée par la Direction générale des classes moyennes du Ministère de l’Économie) ;
  • si elle emploi du personnel, être régulièrement immatriculée auprès du Centre commun de la Sécurité sociale ;
  • avoir un chiffre d’affaires pour l’année fiscale 2019 au moins égal ou supérieur à 15.000 €. Pour les entreprises créées au cours des années fiscales 2019 ou 2020, le montant est proratisé en fonction de la date de début de l’activité(chiffre d’affaires proratisé sur une année en prenant comme base de calcul le chiffre d’affaires réalisé entre le début de l’exercice des activités et la crise du COVID-19).
  • avoir été obligée d’arrêter ses activités en raison de l’interdiction de l’accueil du public imposée par règlement grand-ducal du 18 mars 2020 ; ou avoir subi une perte du chiffre d’affaires mensuel moyen ou mensuel d’au moins 50 % entre le 15 mars 2020 et le 15 mai 2020. La perte du chiffre d’affaires est appréciée par rapport au chiffre d’affaires mensuel moyen de l’année 2019 ou du chiffre d’affaires de la même période de l’année 2019 et, pour les entreprises créées après le 15 mars 2019, au chiffre d’affaires mensuel moyen sur la période comprise entre la date de création de l’entreprise et le 14 mars 2020 ;
  • avoir repris l’activité dans l’ensemble de ses magasins à la date du 1er juin 2020 au plus tard et ne pas l’avoir cessée par la suite ;
  • ne pas avoir perçu de subventions de chômage partiel pour le mois pour lequel l’aide est demandée ;
  • ne pas avoir procédé à des licenciements pour motifs économiques au cours du mois pour lequel l’aide est demandée ou des mois éligibles précédents.

 

En principe, sont exclues les entreprises qui, au 31 décembre 2019, étaient en difficulté.

Dérogation : l’aide peut être octroyée à des micros ou petites entreprises qui étaient déjà en difficulté au 31 décembre 2019, dès lors que celles-ci ne font pas l’objet d’une procédure collective d’insolvabilité en vertu du droit national qui leur est applicable et n’ont pas bénéficié d’une aide au sauvetage sous forme de prêt non encore remboursée, d’une aide au sauvetage sous forme d’une garantie à laquelle il n’a pas encore été mis fin ou d’une aide à la restructuration dans le cadre d’un plan de restructuration qui est encore en cours. Ces conditions sont appréciées au moment de l’octroi de l’aide.

 

Délais

 

Les demandes doivent être soumises dans les délais suivants :

  • entre le 1er et le 31 août 2020 pour une demande relative au mois de juillet 2020 ;
  • entre le 1er et le 30 septembre 2020 pour une demande relative au mois d’août 2020 ;
  • entre le 1er et le 31 octobre 2020 pour une demande relative au mois de septembre 2020.

 

Demande

 

La demande est à introduire à travers un assistant en ligne disponible sur MyGuichet.lu. https://guichet.public.lu/fr/entreprises/financement-aides/coronavirus/aide-commerce-detail.html

 

Pour chaque mois, une demande distincte devra être introduite, c’est-à-dire une demande distincte pour les mois de juillet, août et septembre 2020.

 

Montant de l’aide

 

L’entreprise reçoit :

  • pour le mois de juillet : 1.000 € par salarié à temps plein et par indépendant ;
  • pour le mois d’août : 750 € par salarié à temps plein et par indépendant ;
  • pour le mois de septembre : 500 € par salarié à temps plein et par indépendant.

 

En cas d’occupation à temps partiel, les montants sont proratisés.

 

Le montant de l’aide ne peut pas dépasser 50.

News au 02/07 : points divers

1) Demande de chômage partiel pour août 2020 – délai du 01/07 au 12/07 inclus.

Le formulaire de demande en ligne est identique à celui du mois de juillet si ce n’est qu’il faut fournir le chiffre d’affaire HTVA du 1/4/2020 au 30/6/2020.

 

Si vous êtes concernés, merci de transmettre à votre gestionnaire salaire, au plus vite et avant le 10 juillet 2020, le nombre prévisionnel de salariés en chômage partiel pour le mois d’août ainsi que l’attestation signée soit par chaque salarié concerné soit par la délégation du personnel s’il y en a une.

2) Déclaration de créance pour le chômage partiel d’avril 2020 – délai du 31/07/2020.

3) Frontaliers français – télétravail et fiscalité.

L’accord en matière de fiscalité concernant le télétravail dans le contexte de la lutte contre la propagation du COVID-19 conclu entre le Luxembourg et la France restera en vigueur jusqu’au 31 août 2020.

Cet accord prévoit que les jours de travail pendant lesquels l’emploi a été exercé à domicile en raison des mesures prises pour combattre la pandémie de COVID-19, ne sont pas pris en compte dans le calcul des 29 jours pendant lesquels la rémunération des frontaliers français reste imposable au Luxembourg.

 

Source : https://mfin.gouvernement.lu/fr/actualites.gouvernement%2Bfr%2Bactualites%2Btoutes_actualites%2Bcommuniques%2B2020%2B06-juin%2B24-accord-teletravail-france.html

 

4) Formation continue obligatoire des chauffeurs professionnels.

Un règlement grand-ducal du 8 avril 2020 prévoyait que pendant l’état de crise, la durée de validité des certificats attestant la qualification comme conducteur professionnel est prolongée. Cette mesure concerne les certificats qui viennent à échéance pendant la durée de l’état de crise. Ainsi, ces certificats sont renouvelés pour une période de 6 mois.

Afin de se conformer au droit européen (règlement 2020/698 du 25 mai 2020), à partir du 4 juin 2020, les certificats de formation et qui sont venus ou viendront à échéance durant la période du 1er février 2020 au 31 août 2020 sont réputés être prolongés pour une durée de 7 mois.

Source : https://mint.gouvernement.lu/dam-assets/circulaires/2020/janvier-juin/3873-Annexe.pdf

5) Bail à usage d’habitation.

La loi du 20 juin 2020 confirme le règlement grand-ducal du 20 mai 2020 : toute augmentation de loyer d’un logement à usage d’habitation est interdite jusqu’au 31/12/2020.

Source : http://legilux.public.lu//eli/etat/leg/loi/2020/06/20/a517/jo

6) Tenue des réunions au sein des personnes morales au-delà de l’état de crise.

La loi du 20 juin 2020 a pour objet de proroger les effets du règlement grand-ducal du 20 mars 2020 et ainsi prolonger au-delà de la fin de l’état de crise le dispositif permettant aux sociétés et autres personnes morales de tenir leurs assemblées générales et autres réunions indispensables sans devoir être physiquement présents, même si ceci n’est pas prévu dans leurs statuts.

 

Ces dispositions s’appliquent jusqu’à l’expiration des 9 mois après la fin de l’exercice de la personne morale.

 

Une personne morale (y compris une ASBL) peut tenir son assemblée générale :

  • par un vote à distance par écrit ou sous forme électronique permettant l’identification des actionnaires/associés et sous réserve que le texte intégral des décisions à prendre aura été soit publié soit communiqué ;
  • par visioconférence ou autre moyen de télécommunication permettant l’identification des actionnaires/associés.

De même, elle peut tenir un conseil d’administration/de gérance :

  • par résolution circulaire ;
  • par visioconférence ou autre moyen de télécommunication permettant l’identification des administrateurs/gérants.

Toute société ayant convoqué son assemblée générale d’après les modalités applicables avant l’entrée en vigueur du règlement grand-ducal du 20 mars 2020 et qui prend la décision de reconvoquer l’assemblée générale selon les modalités définies par la loi du 20 juin 2020, devra publier sa décision et le cas échéant, la notifier à ses actionnaires/associés dans la forme dans laquelle elle avait convoquée cette assemblée ou par publication sur son site internet au plus tard le 3ème jour ouvrable avant l’assemblée.

 

Enfin, une ASBL peut convoquer l’assemblée générale ayant pour objet l’approbation du budget et des comptes à une date qui se situe au plus tard le 30 septembre 2020

 

Source : http://legilux.public.lu/eli/etat/leg/loi/2020/06/20/a541/jo

7) Diverses dispositions en droit du travail qui ont pris fin le 24 juin 2020 à minuit.

  • Le mécanisme de calcul des 78 semaines d’incapacité de travail pour cause de maladie a repris son cours le 25 juin 2020. Pour rappel, pendant l’état de crise ne sont pas pris en compte pour le calcul des 78 semaines, les périodes d’incapacité de travail personnelles se situant entre le 18 mars 2020 et la date de la fin de cet état de crise.
  • Dans les entreprises directement touchées par les décisions de fermeture prises par le Gouvernement et les entreprises admises au chômage partiel pour cas de force majeure Covid-19, les périodes d’essai suspendues en application des dispositions particulières prises pendant l’état de crise ont repris leurs cours le 25 juin 2020. http://legilux.public.lu//eli/etat/leg/loi/2020/06/20/a538/jo
  • La loi du 20 juin 2020 précise que les contrats à durée déterminée conclus pendant l’état de crise entre un étudiant et un employeur actif dans un ou plusieurs des domaines économiques énumérés à l’annexe de la Loi, qui pouvaient prévoir une durée de travail supérieure à 15 heures par semaine en moyenne sur une période d’un mois ou quatre semaines : http://legilux.public.lu//eli/etat/leg/loi/2020/06/20/a538/jo
    • prennent fin à la date d’échéance initialement convenue, sauf résiliation d’un commun accord préalable ;
    • ne peuvent pas être renouvelés après le 24 juin 2020 (fin de l’état de crise). 
  • La loi du 20 juin 2020 précise désormais que dans le cas d’un salarié incapable de travailler pour cause de maladie ou d’accident pendant la durée de l’état de crise, et par dérogation à l’article L. 121-6 (3) du Code du travail : http://legilux.public.lu//eli/etat/leg/loi/2020/06/20/a538/jo
    • le délai de protection contre le licenciement de 26 semaines est suspendu pour la durée d’incapacité de travail se situant pendant la durée de l’état de crise ;
    • ce délai de protection reprend son court le 25 juin 2020, si le salarié se trouve toujours en incapacité de travail à ce moment-là ;
    • à partir du premier jour de la 27ème semaine de protection contre le licenciement, l’employeur dûment informé de la maladie du salarié ou en possession d’un certificat médical conformément aux paragraphes 1 et 2 de l’article L. 121-6 du Code du travail, peut procéder au licenciement de ce dernier uniquement pour motifs graves.
  • Depuis le 25 juin 2020, l’employeur doit à nouveau verser la quote-part due à l’Etat en cas de contrat de réinsertion-emploi (CRE). http://legilux.public.lu//eli/etat/leg/loi/2020/06/20/a538/jo
  • Le Fonds pour l’emploi ne rembourse plus à l’employeur l’intégralité (mais un certain pourcentage) de l’indemnité versée au jeune demandeur d’emploi dans le cadre d’un contrat d’initiation à l’emploi (CIE) et d’un contrat-appui emploi (CAE) à dater du 25 juin 2020. http://legilux.public.lu//eli/etat/leg/loi/2020/06/20/a538/jo
  • Reclassement professionnel : depuis le 25 juin 2020, les gratifications, compléments et accessoires versés aux salariés qui assurent les activités essentielles pour le maintien des intérêts vitaux du pays sont, à nouveau, pris en compte pour le calcul du nouveau revenu mensuel cotisable au titre de l’assurance pension ce qui a pour conséquence de diminuer le montant de l’indemnité compensatoire. http://legilux.public.lu//eli/etat/leg/loi/2020/06/20/a538/jo

8) Disposition en droit du travail qui a pris fin le 30 juin 2020 à minuit.

L’assurance maladie-maternité prenait en charge l’indemnité pécuniaire de maladie (également pour accident professionnel et reprise du travail pour des raisons thérapeutiques) due aux salariés et aux non-salariés pendant les périodes se situant entre le 1er avril 2020 et la fin du mois calendrier au cours duquel prend fin cet état de crise. Cette mesure a pris fin le 30 juin et c’est donc le mécanisme normal qui reprend son droit (règle des 77 jours). http://legilux.public.lu//eli/etat/leg/loi/2020/06/20/a511/jo

9) Diverses dispositions en droit du travail/sécurité sociale qui sont prolongées.

Nous restons à votre disposition pour toutes questions.

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